Trousse de toilette de baroudeuse : j’ai testé des produits solides et nomades, voici ceux à emporter (ou pas)

Avec un sac à dos pour seul compagnon et une envie de voyager plus léger (et plus propre), j’ai troqué mes flacons classiques contre une trousse 100 % produits solides et nomades. Direction : un week-end entre copines, sans valise qui pèse une enclume ni gel douche qui se venge en explosant dans les chaussettes. Objectif : limiter les déchets, gagner de la place, et surtout tester si ces cosmétiques nouvelle génération tiennent vraiment la route. Spoiler : certains sont devenus mes nouveaux indispensables, d’autres… un peu moins. Voici le bilan sans langue de bois d’un test grandeur nature où j’ai frotté, brossé, badigeonné, verni et même croqué mes cosmétiques – tout ça, sans eau micellaire ni prise électrique.

La team lavage

Quand on voyage léger, chaque gramme compte. J’ai donc testé plusieurs solutions tout-en-un pour rester propre de la tête aux pieds, sans alourdir mon sac. Verdict ? Certains formats solides gagnent haut la main leur place dans la trousse. D’autres… demandent juste un peu d’adaptation.

Corps, visage et cheveux : les produits tout-en-un

Premier sur le banc d’essai : le solide 3-en-1 Pêche Nectarine du Petit Marseillais. Avec son parfum doux et fruité, il a immédiatement apporté une touche estivale à ma trousse. Il lave le corps, le visage et les cheveux, ce qui en fait un allié malin pour les week-ends ou les micro-aventures. Le galet est agréable à l’usage, mousse bien, et laisse la peau fraîche. Côté cheveux, il fonctionne bien sur les coupes courtes ou peu exigeantes. Pour les crinières plus longues ou plus sèches, il pourra demander un petit soin complémentaire, mais rien de rédhibitoire : on apprécie surtout sa polyvalence et son format compact.

Autre multi-talents : le savon solide 5-en-1 Néo de chez Sloe, qui m’a intriguée autant qu’il m’a dépannée. Avec lui, on peut se laver le corps, le visage, les cheveux, faire la vaisselle… et même se brosser les dents. Oui, tout ça. Il s’adresse clairement aux baroudeuses minimalistes qui aiment partir avec le strict minimum. Son format mini et son côté zéro déchet sont ultra convaincants pour les treks ou les longs voyages en autonomie. Côté usage, il est un peu plus brut que les autres testés. Sur la peau, il fait le job. Sur les cheveux, il reste une solution ponctuelle. Quant à l’usage en dentifrice, disons qu’il vaut mieux être curieuse et aventureuse. Ce n’est pas un produit cocooning, mais il remplit sa promesse : celle d’un produit multi-usages, simple et efficace.

Shampooings et après-shampooings solides : la team fraîcheur

Chez Yves Rocher, j’ai testé le shampooing solide Pureté, formulé pour les cheveux à tendance grasse. C’est un produit qui mousse peut-être facilement sur les cheveux courts, même avec peu d’eau, ce qui est un vrai atout quand on se lave à la gourde ou dans un lavabo de refuge, sur les cheveux mi-longs, comme les miens, ou plus longs, il faut insister davantage. Il laisse le cuir chevelu propre et léger, et prolonge vraiment la sensation de fraîcheur. Sur cheveux normaux à gras, il fonctionne plutôt bien. Sur cheveux très secs, il conviendra sans doute mieux s’il est associé à un soin nourrissant. Mais dans l’ensemble, c’est un shampooing pratique, économique, sensoriel – et surtout, il tient bien le choc dans la trousse de toilette.

J’ai justement couplé ce shampooing à l’après-shampoing solide de la même marque, et ce duo m’a agréablement surprise. L’après-shampoing se présente sous forme de galet, fond doucement dans les mains, et permet de lisser les longueurs en quelques passages. Il laisse les cheveux doux et souples, sans les alourdir. Il faut peut-être un peu de patience pour bien répartir le produit et parvenir à le faire mousser surtout sur cheveux longs, mais l’effet est bien là. Et pour les plus maladroites (je me compte dedans), mieux vaut éviter de le manipuler au-dessus d’un sol glissant, car il a tendance à filer s’il est encore humide.

Pour transporter tout ça, j’ai glissé les galets dans la boîte à cosmétiques solides proposée par Yves Rocher. Elle est légère, compacte, et s’adapte parfaitement aux formats de la marque. Elle permet de garder ses produits au sec, à condition de bien les laisser sécher quelques instants avant de refermer. Elle n’est pas 100 % hermétique, mais reste une solution simple et efficace pour éviter la trousse collante.

En résumé ?

La combinaison shampooing + après-shampoing Yves Rocher est clairement celle que je retiens pour mes prochains voyages même si je suis une inconditionnelle des produits Le Petit Marseillais. Douce, agréable, facile à transporter, et vraiment efficace au quotidien. Et si je pars plus longtemps ou dans un contexte plus rustique, j’embarque le 5-en-1 Néo, qui coche toutes les cases côté praticité. Le Petit Marseillais, lui, reste un excellent choix pour un week-end : un seul galet et hop, tout est lavé (même si mes cheveux, eux, préfèrent quand même un petit soin bonus).

La team déo

Quand on crapahute en plein soleil, le déodorant devient bien plus qu’un détail. C’est un garde-fou contre les mauvaises surprises olfactives dans le train, en refuge ou sous la tente. Mais dans une trousse de toilette minimaliste, il doit cocher plusieurs cases : format léger, formule efficace, et si possible, douce pour la peau. Le passage au déodorant solide peut toutefois demander une petite phase d’adaptation. Si vous n’avez jamais utilisé de stick en carton ou de baume solide, il faut parfois quelques jours pour s’habituer à la texture, au geste d’application ou à la sensation sur la peau. Rien d’inconfortable, mais comme toute nouveauté, ça peut surprendre au début. Une fois apprivoisé, ce format s’intègre très naturellement à une routine nomade.

J’ai donc mis à l’épreuve trois déodorants solides, chacun avec ses points forts et ses petites subtilités.

Monoprix – Déodorant Solide Bergamote & Mandarine

Avec son format stick en carton recyclé et ses notes d’agrumes qui sentent bon la fraîcheur sortie de douche, ce déo a tout du compagnon cool pour une virée sac à dos. Il s’applique facilement (un petit push par dessous et hop, ça roule sous les bras), sa texture est douce, et son parfum bergamote-mandarine donne un vrai coup de peps au réveil. Niveau efficacité, il tient plutôt bien sur une journée tranquille – disons, balade champêtre ou flânerie urbaine sans sprint.

Sous grosse chaleur ou après une rando à fort dénivelé, il peut demander une retouche. Mais rien de catastrophique : il reste un excellent choix pour débuter dans le monde des déos solides, sans prise de tête ni explosion de budget. Bonus : même en cas de bouloches sur un t-shirt noir (vécu !), tout part sous la douche. Un petit hic cosmétique qui ne gâche pas ses qualités, surtout quand on le choisit pour sa simplicité, son prix mini et son côté écolo bien pensé.

Respire – Déodorant Solide Fleur de Coton

Respire, c’est un peu mon chouchou perso. Il faut dire que je suis déjà fan de leur déodorant roll-on que j’utilise au quotidien, alors forcément, j’attendais beaucoup de sa version solide… Et bonne nouvelle : elle tient ses promesses ! À modérer cependant, il se peut que le déodorant fonctionne bien sur ma peau puisque je suis déjà habituée aux produits de cette marque. Ce déo à la formule naturelle et au parfum tout doux Fleur de Coton a été pensé pour les peaux sensibles, et ça se sent. Zéro irritation, même après plusieurs jours d’utilisation en mode rando-sac-à-dos-qui-colle, et une texture baume qui glisse bien, sans coller ni faire de traces blanches.

Côté efficacité, il gère parfaitement une journée normale, même un peu active. Pour les grosses chaleurs ou les journées où tu transpires comme si tu venais de courir après ton car, une petite retouche peut s’imposer. Mais pour un usage quotidien, nomade et zen, il est pile ce qu’il faut : doux, discret, rassurant, un peu comme un bon plaid… mais pour les aisselles. Son emballage en carton recyclable est en prime ultra pratique pour les escapades écolos.

Yves Rocher – Déodorant Baume Solide à l’Avoine

Avec son format stick en carton recyclable et son petit look épuré, ce déo solide signé Yves Rocher a vite trouvé sa place dans ma trousse de toilette minimaliste. À la première utilisation, on pousse doucement par en dessous (un peu comme un push-pop d’enfance, mais version aisselles), et on découvre une texture fondante au parfum végétal doux et discret. Pas de cocotier criard ni de fleur entêtante ici : juste une sensation propre et légère, très agréable dès le matin.

À l’application, rien à signaler : le baume glisse bien sur la peau, ne colle pas, et surtout, ne laisse aucune trace blanche sur les vêtements, même foncés. Côté efficacité, il a bien tenu la route sur mes journées classiques – vous savez, celles qui mixent un peu de marche, un peu de transports et beaucoup de vie normale. En revanche, dès que le thermomètre s’emballe ou que le stress grimpe en flèche, j’ai trouvé qu’il montrait ses limites. Disons qu’il préfère les journées “zen attitude” aux marathons émotionnels ou aux montées de col à midi.

Ce déodorant solide n’est pas un anti-transpirant, donc il n’empêche pas de transpirer (et c’est très bien comme ça), mais il fait ce qu’on lui demande : limiter les odeurs, en douceur. Il conviendra particulièrement à celles et ceux qui ont la peau sensible et cherchent une option naturelle, simple et sans surprises.

Attention tout de même à bien le conserver dans un endroit sec et frais, car comme tous les sticks en carton, il n’aime pas trop le fond de sac humide ou les grosses chaleurs.

Et alors, on embarque lequel ?

Honnêtement, les trois déodorants testés se défendent très bien, chacun avec sa personnalité et son terrain de jeu préféré. Plutôt que de chercher un vainqueur absolu, l’idée, c’est surtout de choisir en fonction de son programme et de son type de peau.

Le stick Monoprix est parfait pour les journées simples et les petits budgets. Il sent bon les agrumes, se glisse partout, et offre une fraîcheur bienvenue au quotidien. Le Respire Fleur de Coton, lui, c’est un peu le confident douceur : discret, rassurant, idéal pour les peaux sensibles ou les voyages au rythme tranquille. Et le baume solide Yves Rocher ? Un bon allié des journées pleines, à condition qu’il ne fasse pas 35°C à l’ombre.

Pas de grandes différences côté poids ou format : on reste sur des galets entre 50 et 65 grammes, qui tiennent bien dans une trousse et ne réclament pas de place supplémentaire. Ce qui peut faire la différence, c’est le type d’application. Si vous n’êtes pas familière avec les déos solides, prévoyez peut-être un petit temps d’adaptation pour trouver votre geste. Mais une fois le coup de main pris, c’est adopté.

Mon vrai conseil de baroudeuse, ce serait peut-être de tester son déo avant de partir. Rien de pire que de se retrouver au milieu d’un sentier avec un produit qui ne vous convient pas. Une semaine d’essai chez soi, c’est l’assurance d’un départ plus serein. Et puis, entre nous, si vous avez un peu de place, emporter deux formats (un stick + un baume) permet de s’adapter à toutes les ambiances. Fraîcheur garantie, sans prise de tête.

Le petit +… qui n’a pas changé ma vie (mais peut-être la tienne)

J’avais glissé le stick anti-frottements First Aid Beauty dans ma trousse avec beaucoup d’espoir. Je m’imaginais déjà trottiner des kilomètres en short, protégée comme jamais. Spoiler : je ne l’ai quasiment pas utilisé. Mais pour être honnête… je suis fine, je n’ai jamais trop souffert des frottements, donc je ne suis sans doute pas le meilleur cobaye pour ce type de produit et n’est pas vu une grande différence en l’utilisant.

Cela dit, du côté des utilisateurs et utilisatrices qui en ont vraiment besoin, les retours sont plutôt élogieux. Beaucoup saluent sa texture douce, qui fond rapidement sans coller, et son efficacité sur les zones sensibles (cuisses, aisselles, sous la poitrine). Il évite les irritations, même après plusieurs heures de marche, et son format stick permet une application rapide et propre, même sur le bord d’un sentier.

Alors non, il n’a pas changé ma vie de randonneuse… mais si tu es du genre à finir la journée avec les cuisses en feu, ça pourrait bien devenir ton nouveau meilleur ami.

La routine bucco-dentaire

Je dois l’avouer : croquer une pastille pour me brosser les dents, j’étais sceptique. Mais les pastilles Respire, une fois apprivoisées, m’ont bluffée. Pratiques à doser, ultra légères, pas de coulures ni de bouchons qui sautent dans le sac – et un petit goût mentholé plutôt agréable. Il faut juste s’y faire les deux-trois premières fois, surtout quand on est habitué à des dentifrices plus classiques. Mais une fois la surprise passée, c’est super pratique.

En parallèle, j’ai aussi testé le dentifrice solide Monoprix, plus classique dans son format (si on est habitué au dentifrice solide bien sûr). Il mousse bien, il sent bon la menthe, et il fait le job sans prise de tête. Idéal si on veut du solide, mais sans changer trop ses habitudes.

Côté brosse, j’ai embarqué avec moi la brosse à dents de voyage Monoprix. Elle se plie, se clipse, se cale dans n’importe quelle poche de sac à dos. Elle est un peu rigide à mon goût, j’ai plutôt l’habitude des brosses à dents souple mais rien de dramatique : elle reste parfaite pour partir léger sans sacrifier l’essentiel.

Et si je peux te glisser un conseil de baroudeuse ? Si tu souhaites embarquer les pastilles pour te brosser les dents, teste-les avant de partir.

Un peu de coquetterie quand même

Même en vadrouille, j’aime bien garder un petit truc qui brille. Et franchement, ces quelques essentiels beauté m’ont suivie sans alourdir ma trousse.

Vernis à ongles : entre peps rapide et chic intemporel

Même en voyage, j’aime garder des mains, et des pieds, un peu stylées. C’est pas grand-chose, mais un joli rouge sur les ongles, ça booste l’allure, même en baskets et t-shirt froissé.

Avant chaque application, j’ai pris le temps de poser une base transparente (histoire de protéger mes ongles), puis j’ai terminé avec un gel top coat qui traînait dans un de mes tiroirs pour maximiser la tenue. Ce petit trio m’a permis de tester les vernis dans de bonnes conditions, sans compromis sur la brillance ou la durabilité.

Premier coup de cœur : le Bourjois 1 Seconde, en teinte 09 Let’s Get Red(y). Un rouge cerise lumineux, qui se pose facilement grâce à son pinceau large. Le gros plus ? L’effet laqué/gel ultra-brillant qui donne l’impression d’un semi-permanent. Je pourrais presque me passer de top coat, tant l’aspect du vernis est brillant. Et la tenue est vraiment correcte pour un vernis aussi rapide et abordable. Parfait pour une retouche express entre deux trains ou une soirée improvisée.

En version plus élégante, j’ai aussi testé le Vernis Chanel, en teinte 151 Pirate (celui que je porte sur la photo). C’est le rouge profond par excellence, sophistiqué, intemporel, un peu comme si tu emmenais un rouge à lèvres haute couture sur tes doigts. Application ultra fluide, brillance parfaite, et une tenue qui tient ses promesses – surtout avec top coat en renfort. Bon, comme le Bourjois, le flacon est en verre, donc à caler avec soin dans ta trousse si tu veux l’emmener loin. Mais franchement, pour une escapade un peu chic, ça vaut le poids.

Brumes fixatrices – Mon pschitt secret pour rester fraîche

Je ne pensais pas emmener une brume fixatrice en voyage… et pourtant, ça a clairement été mon pschitt coup de cœur. Ces petites merveilles ne se contentent pas de fixer le maquillage : elles rafraîchissent, hydratent, et donnent un vrai coup de boost au teint quand on a dormi quatre heures ou qu’on a passé la journée à courir après un TER.

J’ai testé deux versions.

La Fix’ Make-Up de Clarins est celle que j’ai testée récemment. Une brume fine, au parfum floral léger, qui donne un effet glowy super naturel. Elle rafraîchit en un pschitt, ne colle pas, ne pique pas les yeux, et surtout, elle prolonge la tenue du maquillage sans étouffer la peau. Parfaite pour un look frais et lumineux même après 10 km à pied.

J’avais déjà eu l’occasion de tester et d’acheter la brume fixatrice Fix+ de MAC (pour fixer mon maquillage le jour de mon mariage). Elle, c’est un peu la brume de l’extrême. Moins sensorielle que celle de Clarins, mais redoutable côté efficacité. Mon maquillage a forcément perdu un peu en éclat au cours de la journée mais j’avais toujours encore de l’allure en fin de soirée. Un poil plus “pro”, mais super fiable.

Baume à lèvres teinté – Mon petit luxe de poche

En rando ou en city trip, je me passe facilement de fond de teint, mais j’aime rehausser la couleur de mes lèvres. J’ai embarqué le Dior Addict Lip Glow en teinte 038 (nude), et je l’ai appliqué à peu près 50 fois pendant mon voyage. Pas parce qu’il ne tient pas – il tient plutôt bien – mais parce qu’il est hyper agréable, nourrissant (et que je suis un peu marseillaise) et qu’il donne ce petit effet bonne mine immédiat.

Ce baume réagit au pH de mes lèvres, donc la teinte est unique à chacune. Sur moi, ça donne un rose nude très doux, qui rehausse juste ce qu’il faut. Il hydrate vraiment, ne colle pas, et se pose sans miroir ni stress, même au sommet d’une colline ou dans les toilettes d’un TER.

C’est clairement mon produit chouchou de coquetterie nomade : joli, pratique, et discret. Il passe partout, mais il fait toute la différence. Et j’aime en appliquer une petite touche sur les pommettes quand je pars en soirée pour un petit coup de blush improvisé.

Pochette transparente Muji – L’alliée anti-bazar

Clairement, cette pochette Muji transparente, c’est mon arme anti-fouille frénétique. Tu sais, ces moments où tu retournes toute ta trousse pour retrouver ton baume à lèvres coincé entre un savon et ta pince à épiler ? Eh bien là, fini les fouilles archéologiques.

Rigide, compacte, ultra pratique pour les produits solides, elle laisse tout voir d’un coup d’œil. Je l’ai utilisée pour y glisser mes essentiels beauté, et franchement, j’ai gagné un temps fou. Rien ne s’écrase, rien ne coule, rien ne disparaît mystérieusement au fond du sac. C’est le genre d’accessoire discret mais redoutablement efficace, et je ne pars plus sans.

Le podium de ma trousse de toilette parfaite

Après plusieurs jours à tester, frotter, mousser et même croquer, voici mes chouchous du voyage :

• Le + pratique : le duo Le Petit Marseillais 3-en-1 et le 5-en-1 de Néo – compacts, malins, et multifonctions.
• Le + sensoriel : le baume à lèvres Dior Lip Glow, pour ce petit glow naturel qui sauve toutes les mines fatiguées.
• Le + inattendu : le dentifrice Respire en pastilles. Étonnant au début, mais addictif en vadrouille.
• Le + indispensable : le déodorant Respire, doux, fiable, et parfait pour les peaux sensibles en terrain chaud.
• Le + efficace : le combo shampooing + après-shampoing solides Yves Rocher, la valeur sûre pour garder des cheveux clean sans prise de tête.
• Le + coquet : le vernis Chanel “Pirate”, pour une touche chic même au fond d’un sac à dos

Solides ou pas si solides ?

J’ai vraiment aimé passer à des produits solides : plus légers, plus compacts, souvent plus clean, et carrément plus responsables. Fini les flacons qui coulent, les formats qui explosent dans le sac ou les litres de plastique jetés.

Mais tout n’est pas parfait : certains produits sont sensibles à l’humidité, demandent un peu d’adaptation ou s’usent plus vite qu’un format classique. Et puis, faut l’avouer, ça prend un peu plus de temps au début pour trouver les bons gestes.

Est-ce que ça vaut le coup ? Clairement, oui. Moins de déchets, plus de place, et un vrai plaisir à utiliser des produits bien pensés. Et comme pour toute rando, l’important c’est de choisir l’équipement qui te ressemble.

En bref ?

Ma trousse était plus légère, mon sac moins encombré, et moi… un peu plus fière de ce que je transportais.
Certains produits m’ont surprise, d’autres m’ont conquise, mais tous m’ont prouvé qu’on peut prendre soin de soi même quand on voyage à l’arrache.
Solide, oui. Mais aussi futé, sensoriel et carrément stylé.

Béatrix Benoist d’Anthenay